DEBAT D'ORIENTATION
BUDGETAIRE
2012
Séance du Conseil Municipal
du 27 février 2012
Ville de Saint-Gaudens
Dans les communes de 3 500 habitants et plus, le vote du budget doit être précédé de la tenue d'un débat d'orientation budgétaire (DOB) selon les dispositions de l'article L. 5211-36 du code général des collectivités territoriales.
La tenue de ce débat a pour objet d'informer et de proposer une réflexion préalable des élus de la collectivité en amont du vote du budget. En son absence toute délibération ayant trait à l'adoption du budget primitif est entachée d'illégalité.
Le débat se déroule selon les règles applicables aux séances plénières de la collectivité concernée, conformément aux articles L. 2121-20 et L. 2121-21 du CGCT pour les communes. Ces dispositions entraînent d'importantes conséquences en matière d'information préalable des élus. Ainsi une note de synthèse explicite les termes du débat proposé à l'Assemblée.
Une délibération prise à cet effet constate la tenue du Débat d'Orientation Budgétaire.
LE CONTEXTE GÉNÉRAL
DE LA PRÉPARATION BUDGETAIRE 2012.
|
La préparation du budget 2012 s’inscrit dans un environnement économique et social mouvementé où la France est confrontée à un déficit public qui s’est creusé depuis le début des années 80 et une croissance économique qui peine à rebondir depuis la crise de septembre 2008.
I – Le contexte national
1-1 Situation macro-économique, déficit public et dette publique
De manière récurrente, nous ne pouvons que constater que la crise perdure. Pour cette année 2011 écoulée, nous pouvons noter :
- dès le printemps 2011, les banques françaises commençaient à réduire leurs participations au financement des besoins des collectivités locales, compte tenu du retour de la crise de liquidités et de financement sur le marché interbancaire ;
- l'été 2011 a été marqué par des mouvements violents sur les marchés financiers, sur la zone euro et sur les marchés de change. A titre d'exemple, début août 2011, le cours euro / franc suisse frôlait la parité de 1(1 euro pour 1 CHF) ;
Par ailleurs, les plans de rigueur budgétaire mis en oeuvre par les gouvernements européens continuent d'aggraver la difficile reprise de la croissance, puisque ceux-ci freinent autant la consommation des ménages que le développement des investissements (privés et publics) avec un durcissement des conditions d'accès au crédit.
Aux Etats-Unis, la croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) ne dépasserait pas 1,5% en 2011. Pour 2012, le Rapport Economique, Social et Financier (RESF), annexé au projet de loi de finances pour 2012, table sur une croissance de 2% du PIB américain, en considérant possible un léger redémarrage de l'économie américaine.
La croissance de la zone euro a subi un fort ralentissement au 2ème trimestre 2011 (+0,2%, contre + 0,8% au premier trimestre). Pour le reste de l'année, compte tenu de l'incertitude générée par la crise des dettes souveraines, la croissance du PIB devrait atteindre +1,6% sur l'année (contre 1,8% en 2010).
En France, la progression du PIB est nulle au 2ème trimestre 2011. La croissance annuelle devrait atteindre 1,7% pour l'année 2011 (contre 1,5% en 2010) au lieu des 2% espérés lors de la loi de finances 2011.
Les prévisions pour l'année 2012 se situent dans une fourchette de 0,0% à +2,5 %, illustrant l'importance des incertitudes pesant sur la croissance.
Le gouvernement table sur une croissance de +1,75% pour 2011 et pour 2012. En effet, il souhaite ramener le déficit public de 5,7% du PIB en 2011 à 4,5% pour 2012, puis à 3% en 2013. Or, l'évolution constatée les années antérieures peut légitiment nous amener à nous interroger sur cette ambition.
Rappelons que la dette publique au sens de Maastricht (incluant ainsi la dette de l'ensemble des administrations publiques) s'élevait à 1 208,9 milliards d'euros à la fin 2007. Elle représentait 63,8% du PIB français. En 2012, les mesures annoncées ne suffiront pas à contenir la dette publique, qui continuera d'augmenter pour atteindre 87,4% du PIB, après 85,5% prévus en 2011. Nous pouvons noter que la part de la dette publique française liée au plan d'aide à la Grèce, à l'Irlande et au Portugal représente 1,4 point de PIB supplémentaire pour 2011 et 1,9 point pour 2012.
Ainsi, pour la première fois, la charge de la dette, sera en 2012 le premier poste budgétaire de l'Etat. En effet, selon les projections du gouvernement, la charge de la dette (comprenez les intérêts d'emprunt) s'élèvera à 48,77 milliards d'euros en 2012, soit un niveau sensiblement au-dessus des crédits de l'éducation nationale. A la fin de l'année 2010, la dette publique s’établissait à un niveau de 82,3 % du PIB. La part de dette des administrations publiques locales s'élevait alors à seulement 8,3% du PIB, c'est-à-dire environ 10% de la dette publique totale. Or, il convient de rappeler que l'investissement des administrations publiques locales représente 70% de l'investissement public.
1-2 La loi de finances 2012
La loi de Finances 2012 fidèle à la loi de programmation 2011-2014 des finances publiques, confirme le gel des dotations de l'État aux collectivités locales. Dans les faits, il s'agit d'une diminution des moyens des collectivités locales.
Les dotations de l'État aux collectivités locales sont pour l'essentiel regroupées au sein de l'enveloppe normée.
Jusqu'en 2007, la Dotation Globale de Fonctionnement (DGF), qui regroupe les dotations
forfaitaires des communes, les dotations d'intercommunalité, les dotations de péréquation (DSUCS, DNP, DDR) et des dotations des régions et départements, évoluait en fonction de l'inflation et en partie de la croissance. En 2008, l'évolution a été limitée à la seule inflation. En 2010, l'enveloppe normée a été indexée sur la moitié de l'inflation. Depuis 2011, elle n'est plus indexée.
L'enveloppe normée étant gelée et la DGF évoluant de +0,2%, les variables d'ajustement (les dotations de compensations en matière de fiscalité) devraient diminuer de 14,5%.
Par ailleurs, l'augmentation de 0,2% de la DGF correspond en réalité à une baisse de la dotation. En effet, la hausse de 0,2% représente une hausse de 77 millions d'euros. Or, les effets d'accroissement de la population et du développement de la coopération intercommunale représentent déjà une augmentation mécanique de 130 millions d'euros.
SITUATION FINANCIÈRE DE LA COMMUNE
Si gouverner c’est prévoir, la rédaction du Débat d’Orientation Budgétaire 2012 des collectivités locales apparaît comme un défi complexe à relever tant les zones d’incertitudes sont nombreuses dans cette période de crise financière et d’année électorale décisive.
Depuis le début de la crise, le gouvernement a fait le choix de plans d’austérité successifs contraignant toujours la dépense publique mais en se montrant timide sur la performance fiscale.
Depuis 2007 une succession d’abandons de recettes a creusé les déficits : bouclier fiscal, exonération des cotisations sociales par exemple.
Sur le plan local la réforme de la TP et le gel des dotations après leur extension ont largement amputé les marges de manœuvre des collectivités.
Dans ce contexte, la majorité présidentielle vise les collectivités locales quant à leur part de responsabilité dans le creusement des déficits fustigeant notamment la progression des effectifs de la Fonction Publique Territoriale.
Pourtant il convient de rappeler que l’investissement public local représente en France 73 % des investissements directs dans le pays ce qui en fait un vecteur de croissance essentiel. Il faut également considérer que l’emploi public constitue par essence un secteur d’activité non délocalisable.
Pour la commune de Saint-Gaudens les difficultés résident dans la maîtrise de son fonctionnement, la gestion de la dette (notamment les emprunts structurés) et la programmation des investissements.
En 2011, la progression des charges à caractère général (011 ) a été maîtrisée. Les exercices 2011 et 2012 vont permettre de contenir de manière conséquente l’évolution des charges de personnel (012) grâce aux départs à la retraite (compensés partiellement) et au transfert.
La maîtrise du fonctionnement doit se poursuivre pour restaurer les capacités d’autofinancement (CAF)
La gestion de la dette commande des interventions du type sécurisation des emprunts toxiques ou remboursement anticipé visant à restaurer des marges de manœuvre en investissement.
Concernant le financement des équipements, la faiblesse de notre CAF et les difficultés dans la sollicitation des emprunts suite à la fragilisation du secteur bancaire interrogent notre programme d’investissement, tout autant que le décalage et la diminution dans le versement des subventions de nos partenaires financiers.
Ces constats étant dressés, il apparaît dans les faits que la collectivité a engagé une démarche vertueuse en matière de dépense de fonctionnement mais reste fragile sur ses capacités d’investissement.
Cependant des progrès sont encore attendus en matière de dépense de fonctionnement : contrôle de gestion sur les dépenses techniques, encadrement des subventions aux associations, rationalisation des programmations dans les secteurs animation et culture …
Concernant la section d’investissement, la politique d’équipement 2012 est impactée par des dépenses de restes à réaliser conséquentes de l’ordre du million d’euros avec une proportion de recettes très faible due au décalage et à la baisse du versement des subventions.
Maîtriser les dépenses du personnel (012) en affectant une part des économies générées sur la revalorisation du régime indemnitaire des agents de la catégorie C.
Sur ce sujet, les réflexions sur les heures supplémentaires sont également engagées.
Etre performant dans la dépense de fonctionnement par une gestion actualisée de la commande publique (informatisation, rationalisation des procédures, contrôle de gestion).
Saisir les opportunités de désendettement par la cession d’éléments du patrimoine communal notamment (Maison Gascogne, Ancien logement des maîtres de la Résidence …)
Objectif à moyen terme
Conduire simultanément un plan d’équilibre et de désendettement
|
Contactée par des sociétés privées et para-publiques d’exploitation immobilière, la Commune étudie pour l’exercice 2012 l’externalisation de la gestion de la Gendarmerie Mobile.
Pour mémoire, la Ville produit environ 250 000 € de travaux par an sur ce site pour une recette en loyer d’environ 1 million d’euros.
L’externalisation de cette gestion se présenterait sous la forme d’un bail emphytéotique administratif (BEA) pour une durée d’environ 30 ans, la commune demeurant propriétaire.
Dans le cadre de ce montage, l’exploitant s’engagerait à produire un montant de travaux régulier sur la période de l’ordre de 400 000 € par an, ce qui assurerait le bon niveau d’entretien du site.
La différence entre les travaux qui seraient réalisés et le montant des loyers désormais encaissés par le titulaire du BEA génèrerait une soulte au profit de la commune.
Cette soulte peut être estimée à 9 à 10 millions d’euros. Elle serait pour la plus grande part affectée au désendettement et le reliquat restaurant à la CAF (capacité d’autofinancement).
Dans cette opération, la commune restant propriétaire perdrait donc la recette annuelle de loyer. Cependant, elle économiserait les travaux qu’elle réalise pour l’entretien de ce patrimoine
Cette opération s’inscrivant dans une stratégie de désendettement de la commune. En effet, le remboursement anticipé de prêts permettrait une économie significative de frais financiers.
L’équilibre recherché reposerait donc sur la compensation du loyer perçu jusqu’ici, par les économies sur travaux, sur frais financiers, le complément étant recherché dans les économies de fonctionnement
L’externalisation de la gestion de ce patrimoine dans le cadre d’un BEA commande la mise en œuvre d’un appel d’offre dans le respect des règles de concurrence.
L’objectif est de conduire cette opération sur l’exercice 2012.
1 - LES RECETTES RÉELLES DE FONCTIONNEMENT |
Les recettes de fonctionnement permettent d’assurer l’exploitation et l’entretien courant des équipements et lieux publics de la commune et de constituer l’épargne dont elle a besoin pour investir.
Elles sont constituées pour l’essentiel des dotations de l’Etat, de la fiscalité communale, des taxes parafiscales, des dotations de la CCSG, atténuations de charges.
|
recettes |
2008 |
2009 |
2010 |
2011 |
13 |
Atténuation de charges |
112 051,70 € |
324 090,11 € |
393 242,02 € |
344 418,16 € |
70 |
Prod. Serv.Dom. ventes Div. |
620 430,22 € |
705 535,14 € |
697 227,67 € |
760 271,15 € |
73 |
Impôts et taxes |
13 148 369,86 € |
13 267 562,26 € |
13 446 839,99 € |
13 979 947,17 € |
74 |
Dotations et participations |
3 905 866,65 € |
3 633 218,53 € |
3 770 129,36 € |
4 015 809,78 € |
75 |
Autres Prod. de Gest. Courante |
1 398 789,04 € |
1 387 265,54 € |
1 532 435,76 € |
1 487 330,68 € |
|
total recettes gestion |
19 185 507,47 € |
19 317 671,58 € |
19 839 874,80 € |
20 587 776,94 € |
76 |
Produits financiers |
1 611,94 € |
958,10 € |
432,00 € |
405,00 € |
77 |
Produits exceptionnels |
245 084,11 € |
185 502,52 € |
70 684,31 € |
142 805,26 € |
79 |
Transferts de charges |
- € |
- € |
- € |
- € |
|
Total |
19 432 203,52 € |
19 504 132,20 € |
19 910 991,11 € |
20 730 987,20 € |
% |
|
|
0,37% |
2,09% |
4,12% |
La hausse des recettes de fonctionnement est expliquée par la prise en compte du solde des recettes CAF due à la ville pour l’exercice 2011. A compter de 2012, suite au transfert de le petite enfance, du périscolaire, le contrat CEJ souscrit auprès de la CAF est transféré à la CCSG
2 - LES DÉPENSES RÉELLES DE FONCTIONNEMENT |
Les dépenses réelles de fonctionnement (DRF) rassemblent les charges à caractère général, les frais de personnel, les autres charges de gestion courante, les frais financiers ainsi que les dépenses exceptionnelles.
La Ville applique une politique de maîtrise des charges de fonctionnement
Entre 2010 – 2011 l’évolution des dépenses de fonctionnement a progressé de 1.85 %,
Et depuis de 2008 cela représente + 7.22% soit une moyenne 1.80%/an
Evolution positive du 012 sachant que les charges de personnel vont sur l’exercice 2012 diminuer d’environ – 14%
Libelle |
2008 |
2009 |
2010 |
2011 |
Charges à caractère général |
4 347 073,96 € |
4 534 024,47 € |
4 475 823,33 € |
4 661 184,35 € |
Charges de pers. & frais assim. |
10 650 253,93 € |
10 941 314,41 € |
11 490 476,44 € |
11 616 000,44 € |
Autres Ch. de gestion courante |
1 710 693,78 € |
1 815 334,93 € |
1 939 283,97 € |
1 997 256,44 € |
total dep gestion |
16 708 021,67 € |
17 290 673,81 € |
17 905 583,74 € |
18 274 441,23 € |
Charges financières |
1 113 731,91 € |
960 920,77 € |
842 153,08 € |
916 168,42 € |
charges exceptionnelles |
103 469,82 € |
71 716,59 € |
103 599,13 € |
9 247,99 € |
Total |
17 925 223,40 € |
18 323 311,17 € |
18 851 335,95 € |
19 199 857,64 € |
% variation |
|
2,22% |
2,88% |
1,85% |
Synthèse
Ralentissement dans la progression des dépenses réelles de fonctionnement
Comparatif entre produit fiscal et les chapitres 011 et 012 .
Produit Fiscal (chapitre 73 –impôt et taxe) : 13 979 947.17€
Les charges à caractère général (011) d’un montant de 4 661 184.35€ représentent 33,40% du produit fiscal
Les charges du personnel (012) d’un montant de 11 616 000,44 € représentent 83.09% du produit fiscal
3 - L'ENDETTEMENT |
encours dette |
31/12/2008 |
31/12/2009 |
31/12/2010 |
31/12/2011 |
Montant |
24 934 198,95 € |
24 515 530,08 € |
23 243 987,59 € |
23 876 023,60 € |
% variation |
|
-1,68% |
-5,19% |
2,72% |
|
Cette diminution 2010-2009 de l’endettement est lié au traitement de l’emprunt 2010 en restes à réaliser, d’où une augmentation de cet encours sur l’exercice de 2011. En revanche, on constate une diminution de l’encours de dette sur la période 2008 à 2011 de l’ordre -4.24%
Face à la crise financière des rencontres régulières sont organisées avec les établissements financiers pour surveiller l’évolution des taux des emprunts structurés
|
31/12/2008 |
31/12/2009 |
31/12/2010 |
31/12/2011 |
encours dette |
24 934 198,95 € |
24 515 530,08 € |
23 243 987,59 € |
23 876 023,60 € |
RRF |
19 432 203,52 € |
19 504 132,20 € |
19 910 991,11 € |
20 730 987,20 € |
annuité |
2 386 230,07 € |
2 089 800,49 € |
2 216 176,29 € |
2 280 753,51 € |
taux d'endettement |
128% |
126% |
117% |
115% |
annuité/RRF |
12% |
11% |
11% |
11% |
Détail de la dette structurée tous budgets confondus
Prêteur |
CRD |
Taux |
|
Risque de taux |
CBC |
Expression |
|||||
Dexia CLF |
381 268,61 € |
4,28% |
Taux fixe 4.28% à barrière 5.5% sur Euribor 12 M(Postfixé) (Marge de 0.13%) |
Barrière |
1B |
Caisse d'Epargne |
391 039,18 € |
3,00% |
Si
CMS EUR 10A (Postfixé)-CMS EUR 02A (Postfixé)>=0.8
alors 3 % |
Pente |
3B |
Caisse d'Epargne |
2 348 033,07 € |
3,10% |
Si
CMS EUR 10A (Postfixé)-CMS EUR 02A (Postfixé)>=0.8
alors 3.1 % |
Pente |
3B |
Dexia CLF |
6 626 796,55 € |
4,35% |
Taux fixe 4.35% si Spread CMS EUR 30A (Postfixé)-CMS EUR 01A (Postfixé) >= 0.1% sinon (7.97% - 5 x spread) |
Pente |
3E |
Dexia CLF |
317 021,92 CHF |
4,24% |
4.24 % |
Change |
4F |
Dexia CLF |
6 740 363,15 € |
4,99% |
Taux fixe 3.99% à barrière 1 sur USD-CHF (5.94%/0.3/1) |
Change |
6F |
Dans les 2 emprunts souscrits auprès de Dexia,
L’emprunt CMS EUR est situé dans la charte Gissler en 3E
L’emprunt USD CHF est classé hors Charte et a été sécurisé jusqu’en novembre 2013
Le réaménagement en taux fixe des deux emprunts de Dexia implique le paiement d’une indemnité compensatrice de l’ordre de 11 millions d’euros
3 millions d’euros pour l’emprunt CMS EUR
et 8 millions pour l’emprunt USD/CHF
En l’état actuel de la faiblesse du risque et face au montant de cette indemnité, il n’est pas jugé opportun d’envisager un réaménagement de ces 2 emprunts
Le nouveau Pôle financier de Dexia n’étant pas à ce jour constitué, les opportunités de renégociation des emprunts structurés seront envisagées sur le deuxième semestre de l’année 2012, l’objectif étant de désendetter la commune dont l’encours de dette est élevé
4 - LA FISCALITÉ |
libellé |
année |
bases estimées |
bases notifiés |
taux appliqués |
produit voté par le CM |
produit net perçu |
|
TH |
2008 |
15 559 000 |
15 609 475 |
10,25% |
1 594 797,50 € |
|
|
TFPB |
16 061 000 |
16 097 148 |
23,60% |
3 790 396,00 € |
|
||
TFPNB |
78 300 |
78 354 |
91,67% |
71 777,61 € |
|
||
total |
31 698 300 |
31 784 977 |
|
5 456 971,11 € |
5 488 711,00 € |
||
TH |
2009 |
16 090 000 |
16 082 357 |
10,25% |
1 649 225,00 € |
|
|
TFPB |
16 535 000 |
16 551 390 |
23,60% |
3 906 128,04 € |
|
||
TFPNB |
64 719 |
70 370 |
91,67% |
64 508,18 € |
|
||
total |
|
20 056 979 |
32 704 117 |
|
5 619 861,22 |
5 643 356,00 |
|
TH |
2010 |
16 844 000 |
16 743 604 |
10,25% |
1 726 510,00 € |
|
|
TFPB |
16 773 000 |
16 790 688 |
23,60% |
3 958 428,00 € |
|
||
TFPNB |
70 500 |
70 646 |
91,67% |
64 627,35 € |
|
||
total |
33 687 500 |
33 604 938 |
|
5 749 565,35 |
5 765 714,00 |
||
TH |
2011 |
17 237 000 |
16 765 924 |
10,25% |
1 766 793,00 |
|
|
TFPB |
17 182 000 |
17 207 517 |
25,96% |
4 460 447,00 |
|
||
TFPNB |
70 300 |
70 908 |
91,67% |
64 444,00 |
|
||
total |
34 489 300 |
34 034 389 |
|
6 291 684,00 |
6 273 913,00 |
Les bases prévisionnelles de 2012 n’ont pas à ce jour été notifiées à la commune
Evolution du produit : effet base effet taux
|
2008 |
2009 |
2010 |
2011 |
Effet Bases (en %) |
5,22% |
2,70% |
3,72% |
+ 0,34% |
Effet Taux (en %) |
1,50% |
0,00% |
0,00% |
+ 1,88% |
Evolution du Produit total (en %) |
6,80% |
2,70% |
3,72% |
+ 7,29% |
5 - LES COMPTES ADMINISTRATIFS 2011 |
BUDGET PRINCIPAL 2011
LIBELLE |
FONCTIONNEMENT |
INVESTISSEMENT |
ENSEMBLE |
|||
EN EUROS |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
résultats reportés |
|
1 243 377,90 |
1 977 406,51 |
|
734 028,61 |
|
opérations de l'exercice |
19 730 237,53 |
20 951 089,57 |
5 058 009,72 |
5 473 680,74 |
24 788 247,25 |
26 424 770,31 |
totaux |
19 730 237,53 |
22 194 467,47 |
7 035 416,23 |
5 473 680,74 |
26 765 653,76 |
27 668 148,21 |
résultats de clôture |
|
2 464 229,94 |
1 561 735,49 |
|
|
902 494,45 |
RAR |
|
|
1 148 344,92 |
594 434,00 |
1 148 344,92 |
594 434,00 |
totaux cumulés |
|
2 464 229,94 |
2 710 080,41 |
594 434,00 |
2 710 080,41 |
3 058 663,94 |
résultats définitifs |
|
2 464 229,94 |
2 115 646,41 |
|
|
348 583,53 |
Etat des fluides :
En terme de coût
En terme de consommation
6 - LES BUDGETS ANNEXES : |
Le Budget bâtiments productifs de revenus :
L'exercice 2011 constate une diminution des recettes résultant de la fin de location, à l'instar du bâtiment des Hypothèques, de MCC suite à la résiliation du bail emphytéotique.
Présentation du réalisé 2011
LIBELLE |
FONCTIONNEMENT |
INVESTISSEMENT |
ENSEMBLE |
|||
EN EUROS |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
résultats reportés |
|
- |
539 891,86 |
|
539 891.86 |
|
opérations de l'exercice |
115 874,48 |
140 970,32 |
168 893,17 |
167 338,81 € |
284 767,65 |
308 309,13 |
totaux |
115 874,48 |
140 970,32 |
708 785,03 |
167 338,81 € |
824 659,51 |
308 309,13 |
résultats de clôture |
|
25 095,84 |
541 446,22 |
|
541 446,22 |
25 095,84 |
RAR |
|
|
0,00 |
0,00 |
|
|
totaux cumulés |
|
25 095,84 |
541 446,22 |
0,00 |
516 350,38 |
|
résultats définitifs |
|
25 095,84 |
541 446,22 |
|
516 350,38 |
|
Sur l’exercice 2012 seront prises en compte les écritures de cession de l’ancien bâtiment SUNN, dont l’acte a été signé en fin d’année et n’a pu être rattaché sur 2011.
La régie des abattoirs :
Le marché de travaux pour l’extension des abattoirs a été attribué courant d’année 2011 et les travaux ont été lancés en fin d’année.
Sur l’exercice, le budget présente un excédent de fonctionnement et d’investissement mais du fait de la prise en compte de la globalité du marché dès 2011, le budget se trouve déficitaire. En effet, le décalage dans le temps entre l’attribution du marché et donc son engagement, la demande d’avance par certaines entreprises attributaires de lots et le début des travaux ont eu pour effet la prise en compte immédiate de la globalité du marché
Le montant des restes à réaliser correspond au montant du marché de travaux, l’emprunt n’ayant pas été mobilisé et aucune notification de subvention n’ayant été reçue avant la fin d’année.
Présentation du réalisé 2011
LIBELLE |
FONCTIONNEMENT |
INVESTISSEMENT |
ENSEMBLE |
|||
EN EUROS |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
résultats reportés |
|
405 833,61 |
|
212 769,16 |
- |
618 602,77 |
opérations de l'exercice |
2 630 090,80 |
2 770 268,00 |
444 940,53 |
471 910,71 |
3 201 609,60 |
3 264 965,87 |
totaux |
2 630 090,80 |
3 176 101,61 |
444 940,53 |
684 679,87 |
3 075 031,33 |
3 860 781,48 |
résultats de clôture |
|
546 010,81 |
|
239 739,34 |
|
785 750,15 |
RAR |
|
|
1 259 534,92 |
- |
1 259 534,92 |
|
totaux cumulés |
|
546 010,81 |
1 704 475,45 |
684 679,87 |
|
|
résultats définitifs |
|
546 010,81 |
1 019 795,58 |
|
473 784,77 |
|
Le budget Energie Renouvelable :
Dans le courant de l’année 2011, suite à la réforme des tarifs de revente de l’électricité, le montage financier ne présentait plus les bénéfices escomptés initialement, il a donc été décidé l’abandon du projet des panneaux photovoltaïques.
Il reste néanmoins des écritures comptables à passer.
Ce budget avait été équilibré par une subvention du budget principal
Présentation du réalisé 2011
LIBELLE |
FONCTIONNEMENT |
INVESTISSEMENT |
ENSEMBLE |
|||
EN EUROS |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
dépenses ou déficit |
recettes ou excédent |
résultats reportés |
|
|
7 493,20 |
|
|
|
opérations de l'exercice |
375,57 |
34 000,24 |
18 560,00 |
0,34 |
18 935,57 |
34 000,58 |
totaux |
375,57 |
34 000,24 |
26 053,20 |
0,34 |
|
|
résultats de clôture |
|
33 624,67 |
26 052,86 |
|
|
15 065,01 |
RAR |
|
|
0,00 |
0,00 |
|
|
totaux cumulés |
|
33 624,67 |
26 052,86 |
|
|
|
résultats définitifs |
|
33 624,67 |
26 052,86 |
|
|
7 571,81 |
Après les dernières écritures comptables, ce budget annexe sera donc clôturé et le résultat devra être intégré au budget principal.
ACTIVITES DES SERVICES MUNICIPAUX
les projets, les enjeux
LE PERSONNEL
Bilan 2011
Le personnel permanent
L’exercice 2011 est particulièrement marqué par la préparation du transfert des compétences ALSH, ALAE et Petite Enfance.
Globalement, le tableau des emplois de la commune est passé 323 emplois permanents (312 temps complet et 11 temps non complet) au 1er janvier 2011 pour se fixer au 1er janvier 2012 après les transferts à 258 (252 postes à temps complet et 6 à temps non complet). Une seule intégration a été opérée sur le secteur d’animation au 1er janvier 2011.
Contrairement aux trois exercices précédents, l’année 2011 se distingue par une reprise des départs à la retraite 9 au total dont seulement 3 ont fait l‘objet de recrutements extérieurs et 3 de redéploiements de personnel ; de même un agent a demandé une disponibilité pour convenance personnelle et n'a pas été remplacé. Enfin nous regrettons le décès de l'un de nos agents, lequel était en congé longue maladie depuis quelques années.
Les nouveaux critères de sélection pour les dossiers de promotion interne ont été adoptés en comité Technique Paritaire et rentreront en vigueur pour 2012.
Les avancements de grades et d’échelons ont concerné 24 agents pour les avancements de grades, et 115 pour les avancements d’échelons environ.
La mutualisation
La mutualisation de services engagée entre la commune et la communauté de communes du Saint-Gaudinois a été poursuivie
Rappel :
Le service communication et affichage
Le service documentation,
Le Service juridique-marchés-publics :
L’équipe entretien des stades :
Une grande partie des activités du service des Ressources Humaine a été mutualisée en 2011.
Les mises à dispositions individuelles auprès de la Communauté de Communes du Saint Gaudinois ou autres organismes ont été renouvelées.
Communauté de Communes du Saint Gaudinois
Le service financier : 2 agents jusqu’au 31/12/2011
Service juridique : 1 agent jusqu’au 31/12/2011, qui est intégré dans la mutualisation du service au 1er janvier 2012
2 agents sont mis à disposition auprès de la Communauté de communes du Saint Gaudinois pour assurer diverses missions : 1 Catégorie B et 1 catégorie C
Autres organismes
1 agent de catégorie C auprès de la commune de Liéoux pour la période scolaire : quotité 10 heures hebdomadaires. (convention annuelle)
1 agent de catégorie C auprès de l’Association « Comité des Œuvres Sociales » pour une quotité de 100%.
Le personnel non permanent
2011, est marqué par une légère augmentation des agents placés sous contrat de droit public du fait de la baisse notable des possibilités de Contrat d’Accompagnement à l’Emploi et de l’augmentation de congés maternité ou parentaux.
Les contrats concernent essentiellement trois secteurs (crèches, technique, entretien bâtiments).
La collectivité a maintenu son effort sur sa politique d’accueil en contrat d’apprentissage. 4 apprentis en secteur travaux paysagers, 1 apprenti sur le secteur peinture et 1 nouvel apprenti en maintenance de matériel horticole. Sur ce dernier secteur, la collectivité a souhaité apporter son soutien sur cette nouvelle formation ouverte à la rentrée au LEPA de Saint-Gaudens.
.
Perspectives 2012
Le personnel permanent
Les effectifs de la commune ont diminué de 57 postes suite aux transferts de compétences. De même, environ 35 agents supplémentaires seront mis à disposition sur une partie de leurs missions, notamment pour les activités périscolaires et l'entretien des bâtiments auprès de la Communauté de Communes du Saint-Gaudinois laquelle remboursera les salaires des périodes concernées
8 agents ont fait valoir leurs droits à la retraite, (essentiellement les services techniques) et le taux de remplacement devrait être aux environs de 50% cette année.
Le Directeur des Services Techniques est concerné par un des départs
Sur les autres secteurs, l'accent sera particulièrement porté sur la consolidation et le développement de l'équipe de la Police Municipale par la création de 2 postes (1 ASVP et 1 gardien de Police)
Comme tous les ans il sera procédé aux avancements d’échelons, de grades ou aux nominations suite à la promotion interne et les concours. Le tout en fonction des besoins déterminés par la collectivité.
Enfin, le volet de la formation va connaître une modification non négligeable puisque malgré la baisse de la cotisation versée au CNFPT (0,9% au lieu de 1%), le budget consacré sera en augmentation du fait de l'accroissement des demandes de formations au titre du DIFP et de la prise en charge des frais de déplacements qui ne sont plus effectués par le CNFPT.
Le règlement formation de la commune sera modifié en conséquence.
Le personnel non permanent,
L’appel au Contrat CAE devrait connaître une baisse significative dans la mesure où les services les plus concernés ont été transférés à la Communauté de Commues. Une période de transition reste active jusqu’à la fin de l’année scolaire, pour les agents dont le contrat a été renouvelé sur ces secteurs.
Les secteurs concernés par les CAE sont dans l’ordre : les Services Techniques et le service des médiateurs.
Concernant les contrats de droit public, certains des bénéficiaires pourraient être intégrés en remplacement de départs à la retraite courant 2012. Les coûts de ces agents pesaient déjà sur les budgets précédents.
PÔLE VIVRE EN VILLE
Le pôle vivre en Ville a pour mission au principal de programmer et d'organiser des manifestations et évènements, dans le domaine culturel, festif et sportif.
Gestionnaire de la piscine municipale, des stades, du gymnase Ferjoux, du camping, de la régie technique des spectacles, du musée et de la bibliothèque, ce pôle a aussi pour mission de veiller à l'entretien des sites concernés et de leur niveau de qualité au service de la population.
POLE REGLEMENTATION
1/ CELLULE R.H.
Ce service gère les plannings de travail et congés des agents d’entretien et ATSEM sur les écoles maternelles.
Le budget fonctionnement se résume à l’achat de petit matériel (aspirateur, centrale de repassage..) et à une provision pour réparations de ce matériel.
Total de ces deux postes : 1 400.00€
Les besoins en vêtements professionnels sont listés et transmis au service « achats ».
Sur 2012, suite au transfert de la « Petite Enfance », certains agents seront mis à disposition, sur la plage horaire du travail effectué auprès des enfants à savoir : le temps cantine et le CLAE. Ces agents, intervenant également pour des remplacements ponctuels sur les sites « Petite Enfance » (crèches, halte-garderie), ce temps de travail sera comptabilisé afin d’être valorisé dans le cadre des mises à disposition.
Il s’agit là du seul changement intervenu sur ce service.
2/ SERVICE HABITAT
Ce service a été créé en mai 2011. 35 dossiers ont été ouverts.
Ce service a en charge la visite des bâtiments insalubres ou présentant des anomalies au titre du Règlement Sanitaire Départemental, dont Monsieur le Maire est en charge de son application sur la Commune.
Sont également pris en compte par ce service les bâtiments menaçant ruine.
L’ouverture d’une ligne budgétaire de fonctionnement est demandée sur l’exercice 2012 afin de pouvoir rétribuer les divers organismes susceptibles d’intervenir pour la résolution de certains dossiers (Expertises par bureau d’études etc..).
Afin de parfaire les interventions de l’agent dans ce domaine, l’achat d’un appareil de détection CO est demandé.
3/ SERVICE UBANISME « OPERATIONS FACADES »
Les opérations façades se portent sur deux secteurs :
1/ Secteur du Centre Ville
2/ Secteur Diffus.
Le budget de ces opérations est constant depuis plusieurs années.
En 2012, une communication se fera autour de ces travaux (achats de 2 panneaux déjà en place).
Pour information, le périmètre du secteur centre ville a été augmenté par délibération du 2/03/2009, (une partie des avenues Foch, Boulogne et F. Mitterrand).
4/ ASSURANCES
Sur l’exercice 2012 une réflexion sera menée afin de décider de l’opportunité de résilier ou pas la police d’assurance « atteinte à l’environnement », concernant l’abattoir.
D’autre part, la cotisation des assurances exceptionnelles est augmentée afin de couvrir les annulations de manifestations en plein air durant la période estivale.
5/PATRIMOINE
La section fonctionnement du budget de ce service ne comprend que la ligne 6226 « Honoraires ».
Prévisions d’enquêtes publiques sur la voie qui jouxte Ste-Thérèse et la propriété de Melle BRUN, si la vente à l’institut de Ste-Thérèse se concrétise et sur la rue Concorde.
Concernant les acquisitions sur l’exercice 2012, elles seront fonction des opportunités et de l’avancée des projets (allotement, cité des artistes, ). En ce domaine la priorité sera donnée aux cessions sur du patrimoine mal entretenu (ancien logements des maîtres de l’école de la résidence, Maison Gascogne par exemple)
6/ POLICE MUNICIPALE
En 2012, le service de Police Municipale sera développé :
1/ Installation dans de nouveaux locaux, sur le Boulevard De Gaulle.
2/ Dotation d’une installation pour gestion des Procès Verbaux Electroniques.
3/ Installation d’une vidéo-protection.
4/ Recrutement de deux agents supplémentaires (1 policier municipal et 1 agent de surveillance de la voie publique) afin d’étoffer ce service dans ses nouvelles missions.
5/ Mise en œuvre d’un convention de coordination avec la police nationale
POLE SOLIDARITE
Le Pôle solidarités jeunesse éducation a en charge le fonctionnement des services éducation et l’accompagnement à la scolarité, la gestion chèques activités.
Il accompagne également dans ses actions et le suivi le conseil des jeunes et le conseil local de sécurité et de la prévention de la délinquance (CLSPD).
Le volet solidarités ouvre sur des projets auprès d’associations oeuvrant dans ce domaine
Les services petite enfance et enfance (crèches, halte-garderie, alsh et alae, ram) en charge du pôle solidarités jeunesse éducation depuis 2008 ont été transférés à la communauté de communes à compter du 1er janvier 2012.
Le service éducation
8 écoles : 5 niveaux maternelle et 4 niveaux élémentaire
Effectif global : 1203 enfants dont 870 enfants pour l’école publique et 233 pour l’école privée
Le service éducation a traité pour la rentrée scolaire 2011/2012 environ 250 dossiers
La dotation de fonctionnement actuelle attribuée à chaque enfant est de 30 euros
Une dotation exceptionnelle est attribuée cette année encore pour l’acquisition de manuels scolaires (en 2011, la dotation s’élevait à 8500 euros)
A la rentrée scolaire, un dictionnaire est offert à chaque enfant de CE2
Dans
le
cadre
du
projet
action
éducative
(PAE),
la
collectivité
participe
à
hauteur
de
405
euros
par
classe.
La
quasi-totalité
des
transports
est
prise
en
charge
par
la
collectivité
pour
un
budget
global
d'environ
46
000
euros.
La
mairie
participe
à
l’organisation
du
goûter
de
Noël.
Proposition
d’un
film
au
cinéma
et
distribution
de
sachets
de
chocolats
individuels,
mandarines,
chocolat
chaud,
viennoiseries
à
chaque
enfant .
Dans le cadre de la découverte culturelle, toutes les écoles bénéficient d’un spectacle gratuit au théâtre municipal.
Concernant la participation de la ville aux frais de fonctionnement des écoles privées, la délibération arrivant à terme, un travail a été mené pour définir les nouvelles modalités de calcul de cette contribution.
L’acquisition de petit équipement a permis de doter les établissements d’appareils photo, jeux et matériel éducatifs.
Des
travaux
d'entretien
courant
sont
réalisés
par
les
services
techniques
de
la
ville.
Concernant l’investissement :
-
les
travaux
de
construction
d’une
nouvelle
maternelle
à
l’école
des
Gavastous
sont
en
cours.
Celle-ci
devrait
être
livrée
à
la
rentrée
2012.
-
un
marché
à
bons
de
commande
a
été
passé
pour
le
remplacement
des
menuiseries
de
l'école
de
la
résidence
primaire
Dans le cadre de la délégation de service public de la restauration collective de la ville avec Scolarest, le pôle est chargé d’organiser les commissions menus auxquelles sont conviés le délégataire et les représentants de parents d’élèves des écoles pour le secteur scolaire et les responsables des alae, alsh et crèches pour ce qui est du secteur petite enfance.
Des visites régulières sont organisées dans les différents sites de restauration scolaire de la ville.
l’aide à l’accompagnement à la scolarité (C.L.A.S)
Le Clas a pour spécificité de s’adresser tant aux enfants qu’à leurs parents :
1) L’accompagnement des enfants s’effectue en dehors du temps scolaire, par un tiers différent du parent ou de l’enseignant et vise à :
élargir les centres d’intérêts des enfants
valoriser les acquis
acquérir les méthodologies adéquates pour réussir à l’école
favoriser l’autonomie et la capacité de vie collective
2) L’accompagnement des parents et de l’entourage familial doit permettre de :
mieux les impliquer dans la scolarité de leurs enfants
développer les contacts entre parents et enseignants afin de faciliter la compréhension réciproque
leur offrir un espace d’information, de dialogue, de soutien
L’ensemble du territoire est concerné par ce dispositif avec une attention particulière aux besoins des familles immigrées ou en situation d’illettrisme
Environ une centaine d’enfants bénéficie de ce dispositif mis en place par la collectivité. L’encadrement (1 accompagnateur pour 4 enfants) est assuré par des agents de la collectivité et des bénévoles
Clas existants en 2010/2011: Pilat, Caussades, MJC
Depuis septembre 2011, création d’un clas sur la résidence primaire
Il regroupe aujourd’hui environ 4 à 6 enfants
Ce dispositif fonctionne sur 3 jours
Depuis début janvier 2012, dans le cadre de l’animation de la résidence « le clos des artistes », et le constat que les enfants domiciliés dans ce secteur, rentrant en bus chez eux, aucun ne pouvait se rendre sur le clas de la mjc, réservé aux collégiens.
Il a donc été décidé de créer un nouveau site d’intervention.
Le Clas a lieu dans la salle de quartier de cette résidence, mise à disposition, sur 3 jours
Il
regroupe
actuellement
environ
12
enfants,
la
majeure
partie
étant
des
collégiens.
Les
familles
ont
été
informées
et
accueillies
lors
d’une
réunion
d’information.
Un à deux agents de la ville et deux bénévoles assurent le fonctionnement de ce site
2 fois par mois, des activités orientées sur l'ouverture culturelle sont organisées :
visite d expositions art contemporain,
visite expositions office du tourisme,
organisation tournois de scrabble,
sortie cinéma,
organisation d'un goûter sur chaque site la veille de chaque période de vacances,
découvertes de diverses musiques,
atelier de sérigraphie et travail d'impression sur un tee-shirt,
ateliers de hip hop, poterie
découverte de l'escrime,
découverte
d'un pays par le biais d’un exposé, de documents,
de gâteaux etc..
Dans le cadre du soutien à la parentalité, nous invitons les parents à participer à l'ensemble de ces activités ainsi qu’aux réceptions organisées par la ville, à l’hôtel de ville, pour Noël, pour les galettes des rois et à la fin de l’année scolaire.
Nous les informons également de toutes les conférences ou réunions organisées par les partenaires (écoute-moi grandir, azimut etc..)
Chèques activités
2012
La commune a mis en place depuis 2010 un dispositif permettant l’accès aux sports, loisirs et/ou culture dénommé le CAJ destiné aux jeunes Saint-Gaudinois
Le CAJ constitue un moyen de paiement par le bénéficiaire, de diverses prestations offertes par les partenaires du caj.
Ce dispositif est reconduit pour l’année 2012.
Au 31 janvier 2012, nous avons enregistré 200 bénéficiaires.
Bilan de 2011
|
80 € |
|
100 € |
|
|
|
|
année |
6 à 11 ans |
|
12 à 17 ans |
|
Enfants |
Familles |
|
|
nombre |
somme |
nombre |
somme |
|
|
Total |
2010 |
414 |
33 120 € |
398 |
39 800 € |
812 |
490 |
72 920 € |
2011 |
431 |
34 480 € |
472 |
47 200 € |
903 |
534 |
81 680 € |
Conseil
des
Jeunes
Le
conseil
des
jeunes
est
un
dispositif
destiné
à
favoriser
la
participation
et
l’expression
des
12
18
ans.
Il
leur
permet
de :
- proposer des idées, développer des projets collectifs, de rencontrer d’autres jeunes, de discuter ensemble et de s’engager dans la vie à st go
- informer les jeunes, participer à des actions citoyennes, améliorer le quotidien des jeunes, faire bouger la ville
Conseil local de sécurité et de la Prévention de la Délinquance (CLSPD)
Acquisition
et
installation
d’un
chalet,
route
de
la
Serre
de
Cazaux,
pour
l’association
Collectif
d’Action
Sociale
en
Comminges
(CASC)
SERVICE COMMUNICATION
Le conseil municipal, comme chaque année est invité à tenir son débat d’orientation budgétaire. C’est l’occasion pour le service communication de présenter un bilan de son activité et de son fonctionnement.
rappel sur les principales missions d’un service communication
mutualisation du service et personnel
réalisations 2011 et analyse financière de l’année
nouvelles orientations 2012 et budget prévisionnel 2012.
le service évènementiel et son budget 2012
1- Le service communication :
Le service communication développe des actions vers des publics variés en cohérence avec la stratégie politique de la collectivité.
Il met en œuvre tout moyen, action, réseau de communication visant à faciliter celles-ci à l’intérieur et à l’extérieur de son territoire.
Il a pour responsabilité de :
réaliser ou faire réaliser les produits et supports de communication écrits, oraux, visuels ou éléments d’exposition.
Assurer le lien avec la population en servant d’interface (médiateurs urbains)
Conseiller dans la démarche de communication et guider dans les choix
Valoriser la politique publique et l’image de la collectivité
Concevoir, organiser, participer à des manifestations spécifiques institutionnelles
Assurer le suivi des actions de la collectivité et en faire la promotion
Créer et animer des réseaux externes ou internes
Créer et animer des relations avec la presse
Etablir et gérer un budget propre à la communication et le planifier
2- mutualisation du service et personnel du service
la mise en commun des moyens humains s’effectue par une convention entre les deux collectivités.
- 2 agents CCSG
- 6 agents mairie de St-Gaudens (4 administratifs + 2 service affichage)
- 2 contrats CDD mairie (médiateurs urbains)
- 2 contrats CAE mairie (médiateurs urbains)
3- Orientations 2012
Le service communication s’engage à :
valoriser la politique municipale
La communication doit organiser, planifier, et manager les informations vers le public. Elle doit mettre en avant toutes les actions de la municipalité et leurs impacts sur la vie des concitoyens.
Toujours dans l’objectif d’une « ville à vivre », un travail sera mené sur le tranquillité et la propreté (installation vidéosurveillance, réaménagement de certains lieux, appels au civisme…).
accompagner les différents évènements
La partie évènementielle revêt un caractère important et reflète le dynamisme du territoire.
Le service communication suivra tous les grands projets :
arrivée de la Route du Sud
pyrénéennes
festival Jazz en Comminges
retirada…
Mais aussi de manifestations ponctuelles dont la promotion est essentielle sur le territoire.
Ces manifestations sont lancées par les services de la mairie (culture- sport- fêtes et animations- associations) ou par des organisateurs extérieurs ( Artisanales du Comminges, Festival de la BD...)
échanges transfrontaliers
Le service communication continue d’entretenir les relations transfrontalières avec l’Espagne.
L’année 2012 sera marquée par la préparation du cinquantième anniversaire du jumelage avec Barbastro
assurer les relations publiques et le protocole
Véritable outil de promotion, le service communication assure les relations extérieures
à la ville et représente la collectivité sur les diverses réunions, séminaires, ateliers en vue d'une représentation maximale et optimale.
De plus la présence de médiateurs urbains, rattachés au service nous permettra d'assurer le lien entre la collectivité et les citoyens. Il sera mis en place un système précis des remontées faites par ces derniers et un traitement rapide des doléances.
Les permanences et les rencontres citoyennes sont réactualisées dans chaque quartier.
Lors de cérémonies ou de réceptions particulières sur la ville, le service sera présent et exécutera la mise en oeuvre souhaitée par le Maire.
4- le service évènementiel et son budget 2012
II est décidé la mise en place d’un service évènementiel dépendant du service communication dont les missions sont les suivantes :
mise en place et suivi du calendrier annuel de tous les évènements de la ville
organisation de certaines manifestations (notamment 13 juillet, forum des associations et réveillon du 31 décembre, nuit du bac)
suivi de la programmation des thés dansants et bals musette
un effort de maîtrise des dépenses est déjà engagé pour l’exercice 2012
SERVICE COMMANDE PUBLIQUE
La Ville a actuellement 123 marchés en cours :
Nombre de marchés en cours (depuis 3 ans)
Dont 35 marchés à procédure adaptée et 1 appel d'offres ouvert qui ont été conclus en 2011 pour un MONTANT TOTAL de 3 680 000 Euros TTC.
LA PUBLICITE DES CONSULTATIONS
La publicité varie suivant les seuils fixés par le Code des Marchés Publics. Principalement, elle est réalisée sur les supports suivants : Site de la Mairie – Affichage Mairie – La Dépêche – plate-forme Achatpublic.com – Marché On Line – Journaux officiels (BOAMP / JOUE)
Pour 2011 le montant des publicités sur la Dépêche locale s'est élevé à 17 142.14 Euros TTC (dont 9 942.14 Euros en fonctionnement et 7 200.00 Euros en investissement).
LES CLAUSES SOCIALES ET ENVIRONNEMENTALES
Ces clauses sont intégrées dans les marchés en cours :
Deux marchés (produits d'entretien) ont été attribués à un atelier protégé.
Dans le marché "fourniture de denrées alimentaires" et notamment dans le lot 1, des produits BIO ont été prévus dans le bordereau de prix.
La notion de développement durable dans la gestion des déchets est stipulée dans tous les cahiers des clauses techniques des marchés de travaux.
LES MARCHES DE TRAVAUX
Les marchés de travaux ont été relativement importants cette année : 15 opérations de travaux ont été lancées en 2011 contre 13 en 2010.
De nouveaux projets ont été concrétisés : Le Centre Technique Municipal – La Maison des Sports Stade Jules Ribet – Le Skate Park – la construction d'un nouveau terrain de tennis – l'Hôtel de la Police Municipale…
Ces chantiers ont permis ainsi de faire travailler 68 entreprises et 13 en sous-traitance.
Le graphique ci-dessous présente le nombre de sociétés qui ont réalisées ces opérations et leur répartition géographique.
LES MARCHES DE FOURNITURES ET SERVICES
Les marchés de fournitures et services ont évolué depuis 2010.
De nombreux services ont été équipés de nouveaux matériels : le centre technique municipal, des équipements informatiques, des véhicules.. et de nouveaux fournisseurs pour la collectivité (fournitures électriques, location matériel sono..)
2011 : LE FONCTIONNEMENT DU SERVICE ACHATS MODIFIE
L'objectif étant de rationaliser les commandes en vue d'instaurer de nouveaux marchés.
Le contrôle de gestion est effectué sur les lignes budgétaires imputées au service. Mais il n'est plus totalement maîtrisé depuis la modification du fonctionnement du service en septembre 2011. Suite à la mise en place prochaine d'un nouveau logiciel ATAL "stock magasin" le magasin assure désormais la gestion des demandes et des fiches de liaison des différents services de la ville concernant les fournitures courantes (produits d'entretien – fournitures de bureau – alimentation).
La non-maîtrise de ces éléments rend plus difficile et complexe la gestion des dépenses et la prévision de nouveaux marchés par catégorie d'achat. Le logiciel ATAL sera connecté en réseau avec notre service premier trimestre 2012.
Les réapprovisionnements du stock, sur demande du magasin, sont traités par le service achats.
Il a été constaté à plusieurs reprises que les services demandent des devis directement aux fournisseurs même dans le cas d'achats qui ont fait l'objet d'un marché. Les devis doivent être donc modifiés en conséquence avec les tarifs conclus dans le marché. (et ce uniquement dans les cas où les devis transitent par notre service (environ 10%).
Le service achats assure désormais la gestion des demandes des autres services pour les achats spécifiques, les cartouches d'encre, le mobilier, la pharmacie, les produits piscine, l'alimentation (hors stock magasin) et les espaces verts. Cette mission a été confiée à deux agents à temps complet du service commande publique.
16 % des bons de commande de la Ville sont traités par le service achats : 3100 bons de commande ont été édités en 2011 par le service finances ; 498 ont été traités par le service achats.
Etapes des achats assurés par le service :
Achat hors marché (30 %) : traitement des demandes (évaluation du besoin – recherche de fournisseurs – demandes de devis) – établissement des fiches de liaison – relais service finances – enregistrement du bon de commande – suivi de la dépense et des lignes budgétaires
Achat dans le cadre d'un marché (70 %) : traitement des demandes – évaluation du besoin – contact fournisseur et bordereau de prix – suivi des factures, évolution et réactualisation des bordereaux de prix.
En ce qui concerne la consommation des carburants véhicules, elle est gérée depuis Août 2011 par le magasin via une convention avec Leclerc Sodexco avec l'attribution de "cartes carburant" affiliées à chaque véhicule municipal. Le contrôle des factures est assuré par le magasin, le suivi pour le paiement est effectué par le service achats.
Pour les dotations d'équipements de sécurité et de vêtements de travail, attribuées principalement aux équipes techniques et espaces verts, elles étaient identiques pour chaque secteur d'activités. Or les chefs de services ont noté que certains vêtements ne sont pas utilisés par les agents et restent stockés. La fréquence du port de ces vêtements est variée et donc l'usure également, suivant l'activité de l'agent. Le principe a été d'améliorer la qualité des équipements et de l'adapter aux besoins en fonction du domaine d'activités. Cette procédure, qui sera développée en 2012 avec un projet d'un nouveau mode d'attribution affiné correspondant aux besoins individuels, a été lancée après consultation des agents et des encadrants : augmentation du choix des produits – 2 paires de chaussures / an au lieu d'une…
LES OBJECTIFS 2012
De nouveaux marchés : un achat contrôlé et adapté aux besoins
De nouveaux marchés sont en projet ou en cours d'élaboration. Le service tend à impliquer au maximum les agents utilisateurs dans la réalisation de ces marchés et dans l'explication de la pertinence de ces procédures.
Les nouveaux marchés lancés début 2012 : Achat livres / CD Bibliothèque Municipale - Les transports scolaires et collectifs - La fourniture de denrées alimentaires
Les projets de nouveaux marchés : Les fournitures scolaires - Les fournitures menuiseries - Les fournitures fer - Les pièces détachées…
Favoriser la dématérialisation
Le Code des marchés publics impose dorénavant aux collectivités d'accepter les offres des candidats par voie électronique. La rédaction actuelle des cahiers des charges prend en compte cette nouvelle disposition.
L'équipe incite les autres services à formuler leurs demandes d'achat par mail.
De plus, dès l'application du logiciel ATAL avec le service achats, toutes les pré-commandes seront effectuées en réseau.
Un guide interne
Une modification des seuils du Code des Marchés Publics est intervenue en décembre 2011. Afin d'améliorer l'information et d'harmoniser les types de procédure, un guide interne de la commande publique est à l'étude.
L’INVESTISSEMENT
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L'investissement de la collectivité constitue un enjeu majeur de la gestion communale non seulement pour bénéficier d'équipements publics toujours plus performants et adaptés mais aussi pour améliorer et diversifier l'offre de services et produire un cadre de vie de qualité.
La commune a pu maintenir en 2011 son effort d’équipement. La commune a bénéficié du retour sur investissement via le FCTVA, en revanche un réel retard est constaté dans le versement des subventions correspondantes.
Principaux investissements 2012
Malgré les contraintes qui pèsent sur nos finances locales, la volonté de poursuivre l’action engagée en 2008 se poursuit.
Les investissements identifiés par des opérations continuent ainsi que les autorisations de programme qui seront révisées lors d’un prochain conseil municipal
Le programme d’équipements pour l’année 2012 sera détaillé lors du vote du budget.
(Tous les chiffres ci-dessous sont TTC, sauf versements voirie)
Un certain nombre de chantiers en cours sont sur le point d’être achevés, ou le seront dans le premier semestre 2012 :
Le stand de tir, pour un montant global de 436,5 K€
Le club house Jules Ribet, pour un montant global de 629 K€
L’Hôtel de Police, pour un montant global de 288 K€
Le Skatepark, pour un montant global de 198 K€
La mise aux normes électriques des bâtiments administratifs de la Gendarmerie Mobile, pour un montant global de 67 K€
Les Jardins familiaux, pour un montant global de 82 K€
Cimetières, suite et fin de la reprise des sépultures abandonnées, pour un montant global de 142 K€
Mains courantes des stades du Saudet et de Jules Ribet, honneur, pour un montant global de 55 K€
Ces chantiers en cours représentent un montant d’investissement global de 1 897 K€,
La Ville a lancé d’autres chantiers qui rentrent très prochainement en phase de réalisation, et qui seront livrés soit en 2012, soit 2013 en ce qui concerne l’extension du centre d’art contemporain. Ces chantiers sont les suivants :
Ecole des Gavastous, pour un montant global estimé à 421 K€
Centre d’Art Contemporain, pour un montant global de 733,5 K€, étalé sur 2012 et 2013
Ces autres chantiers représentent un montant d’investissement global de 1 155 K€,
Le projet de Ville s’articule en un ensemble de chantiers énumérés ci-dessous, qui font chacun l’objet d’une concertation régulière en Comité de Pilotage. L’opportunité de ces chantiers et leur phasage dans le temps sont avalisés dans ce cadre.
Ce chantier qui comporte la mise en place d’une dorsale optique et d’un réseau de surveillance sur les parkings du Belvédère et du Foirail (Super U) a été estimé initialement à 190 K€. La consultation en cours amène à revoir ce chiffre à la baisse (de l’ordre de 155 K€).
Aucun chiffrage aujourd’hui : Le chantier de la Médiathèque et la reprise du square Saint-Jean impacteront la vie dans cette rue. Un montant initial de 20 K€ a été estimé, compte tenu du fait que tous les éléments de transport et de gestion sont déjà créés lors de la mise en place de la vidéo parking.
La réalisation de ce chantier reste un maillon indispensable dans l’amélioration de la gestion du stationnement en ville, aussi bien dans le cadre de la maîtrise des réglementations que dans le cadre du confort apporté à l’usager.
La réalisation de ce chantier est estimée à 360 K€
Une estimation est en cours pour la requalification du jardin public du square, dans le cadre de continuité de l’aménagement général qui englobe le Skate Park, le Boulevard Azémar, l’extension du centre d’art et les travaux de voirie prévus sur le carrefour. Un premier montant estimatif a été posé de 72 K€.
La réalisation de ce chantier permettra l’économie de la consommation annuelle d’eau utilisée pour le bassin, soit environ 10 K€ / an.
Objet d’un demande citoyenne forte, la requalification de ce jardin pour une meilleure appropriation et dans le cadre d’une amélioration paysagère sensible de ce quartier, passe par la mise en place de jeux d’enfants. Le montant de cette installation est de 54 K€.
Toujours dans la continuité de l’article précédent, et s’adressant à une autre tranche d’ âge, toujours dans un souci d’ouvrir la cité à la vie citoyenne, la création d’un City Park, soumis à la réflexion du Conseil des Enfants, se monte à 46 K€ auquel il faudra rajouter 12 K€ de pare-ballon dans le cas où ce citypark serait installé près du tribunal ou en bordure d’une circulation automobile.3.7 Piste de BMX :
Option complémentaire à la création du Skate Park, et destinée à être installé dans le champ en contre-bas, cette piste qui ne comporte que des travaux de terrassement coûte environ 18 K€
Création d’un rond-point croix de la Mission : 270 k€
Création d’un rond-point place du Maréchal Juin (Sous-Préfecture) : 200 k€
Investissement panneaux centre ville : estimation : 10 k€
Reprise des trottoirs Rue Victor Hugo : 132 k€
Reprise Rue Mathe : 35 k€
Reprise rue du Moulat : 75 k€
Reprise des trottoirs Avenue François Mitterrand : 650 k€
Renouvellement des menuiseries : marché à bon de commande : cette année, proposition d’une commande d’un montant de 110 K€
Parking du Foirail : réhabilitation de ce parking avec la reprise des peintures murs et plafonds, pour un montant de : 131 K€
Parking du Belvédère : idem. On notera que la réhabilitation de ces parkings vient naturellement après la mise en place des équipements de surveillance.
Changement des menuiseries dans les écoles : une première tranche pour l’école primaire de la Résidence, pour un montant de 65 K€
Dans le cadre des différents DOB des années précédentes, le problème de renouvellement des toitures fuyardes a déjà été posé : toiture Musée, toiture Hôtel de Ville, Toiture Base de Résidence, Arcométal, ….
Il est proposé de budgétiser une somme au moins égale à 100 K€ pour parer au plus pressé, et anticiper par exemple par des remaniements a minima à lancer au printemps.
Mise aux normes électriques et reprise de la distribution informatique et téléphonique : ce sont des travaux repoussés chaque année et qui s’imposent comme étant des travaux a minima à réaliser au regard des normes actuelles : montant estimé : 294 K€
Mission locale : une décision s’imposera quant au devenir de ce bâtiment. Il convient de réfléchir à sa destination : réhabilitation (Inscrire 400 K€) ou démolition (Dossier à faire chiffrer par bureau contrôle habilité et qui statuera sur la continuité de la solidité du bâtiment connexe )
Il est proposé de voter un budget de 50 K€ HT, soit 60 K€ TTC pour palier aux petits chantiers non prévus initialement, dans le but de répondre à des demandes citoyennes qui pourraient se faire jour en cours d’année.
Il reste à lancer un programme pluriannuel de remise à niveau dans le cadre de l’accessibilité des bâtiments, avec comme date buttoir théorique le 1ier janvier 2015. Le montant estimé d’un tel chantier est le suivant : 30 bâtiments à 22 k€ et 34 bâtiments à 10 k€, soit un total prévisionnel de 1 000 k€ environ. Il est proposé d’inscrire un montant annuel de 100 k€ pour traiter l’accessibilité. Ce montant peut être ramené à un chiffre plus mesuré, par exemple 60 K€ à minima : l’expérience a montré la nécessité de constituer cette réserve, d’autant que le nouveau référent SDIS en terme de sécurité semble être très sérieux dans l’application des normes incendie ERP.
Ce chantier fait l’objet d’un véritable partenariat avec le Conseil Régional, qui apporte une subvention égale à 65 % de l’assiette qui lui incombe, soit un total de 280 K€, à recouvrir en deux fois : un moitié de 140 K€ au démarrage effectif des travaux, une autre recalculée en fonction de la dépense réelle et de l’assiette définitive en fin de chantier, inférieure où égale à la prévision de 140 K€.
Cette subvention, accordée courant 2011 pour un démarrage des travaux effectif avant le 31 décembre 2011, fait l’objet d’une demande de prorogation de un an auprès du Conseil Régional. Il semble toutefois que la position de ce dernier soit plus ferme, et qu’un démarrage a minima soit exigé rapidement en contrepartie du maintien de cette subvention.
Il est proposé de budgétiser une somme de 90 K€ a minima pour 2012, prenant bien en compte le fait que ce chantier, même fractionné au cours des années prochaines, se monte globalement à 1 400 K€
L’Agence Régionale de la Santé a récemment édité un rapport sans complaisance quant à la vétusté des équipements de la Piscine Municipale. Ce rapport fait état de travaux à réaliser dans un délai donné, sous peine de fermeture.
Quelques travaux sont obligatoires. Ils peuvent se faire en régie pour certains. La mise en sécurité des bassins de 50 ml et fosse+plongeoir font partie des travaux qui sont à confier en entreprise, et qui sont à réaliser impérativement avant l’ouverture d’été du bassin de 50 ml.
Il est proposé de budgétiser une somme prévisionnelle de 70 K€, somme à liquider dans le premier semestre pour répondre à nos obligations.
L’ARS demande qu’en outre, la Ville se prononce et s’engage, calendrier à l’appui, quant à la réalisation des travaux de remise aux normes définitive de l’ensemble des équipements. Ces grands travaux ont été précédemment chiffrés lors du DOB 2011 à 1 900 K€ HT.
Dans le cadre de la construction de Pôle Emploi, de la construction d’un parking proche du centre Ville et faisant suite au constat de non-solidité flagrant de la structure de l’actuel gymnase Comellas, il convient de prendre en charge sa démolition. Une étude est en cours.
Il est proposé de budgétiser une somme de 80 K€.